Fiodor Dostoïevsky

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  • CRIME ET CHÂTIMENT (Tome 1)

    8.00 

    « « Sombre, triste, altier et fier ; dans les derniers temps et peut-être même avant, impressionnable et hypocondriaque. Généreux et bon. Il n’aime pas exprimer ses propres sentiments… Terriblement refermé. Tout l’ennuie ; il demeure étendu sans rien faire ; il ne s’intéresse à rien de ce qui intéresse les autres. Il a une très haute opinion de lui-même, et, semble-t-il, non sans raison… » Voilà comment décrit Razoumikhine définit son ami Raskolnikov, jeune étudiant de Saint-Pétersbourg et personnage principal de ce roman. Sans le sou, vivant dans un quartier sordide, Raskolnikov, persuadé d’être hors du commun, met fin à ses études. Et, loin de toute morale collective, rêveur et solitaire, il se décide à tester les limites de sa liberté en pratiquant le mal et s’affranchir de l’ordre moral en le transgressant continuellement. C’est ainsi qu’il se persuade qu’il est de son devoir d’assassiner une usurière pour éviter le mariage arrangé de sa sœur avec un rustre. Mais l’assassinat ne se passe pas comme prévu et il se rend coupable d’un double meurtre…
    Publiée en 1866, cette œuvre est l’une des plus connues de Dostoïevski qui y expose ses pensées religieuses et existentialistes, avec pour thème fort le salut par la souffrance. »

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  • CRIME ET CHÂTIMENT (Tome 2)

    « Sombre, triste, altier et fier ; dans les derniers temps et peut-être même avant, impressionnable et hypocondriaque. Généreux et bon. Il n’aime pas exprimer ses propres sentiments… Terriblement refermé. Tout l’ennuie ; il demeure étendu sans rien faire ; il ne s’intéresse à rien de ce qui intéresse les autres. Il a une très haute opinion de lui-même, et, semble-t-il, non sans raison… » Voilà comment décrit Razoumikhine définit son ami Raskolnikov, jeune étudiant de Saint-Pétersbourg et personnage principal de ce roman. Sans le sou, vivant dans un quartier sordide, Raskolnikov, persuadé d’être hors du commun, met fin à ses études. Et, loin de toute morale collective, rêveur et solitaire, il se décide à tester les limites de sa liberté en pratiquant le mal et s’affranchir de l’ordre moral en le transgressant continuellement. C’est ainsi qu’il se persuade qu’il est de son devoir d’assassiner une usurière pour éviter le mariage arrangé de sa sœur avec un rustre. Mais l’assassinat ne se passe pas comme prévu et il se rend coupable d’un double meurtre… Publiée en 1866, cette œuvre est l’une des plus connues de Dostoïevski qui y expose ses pensées religieuses et existentialistes, avec pour thème fort le salut par la souffrance.

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  • LE PETIT HÉROS

    2.50 

    LE PETIT HÉROS

    2.50 

    « Cette jolie nouvelle très fraîche, malgré la pesanteur des sentiments ressentis par certains personnages, nous invite à découvrir les tout premiers émois amoureux d’un jeune garçon de onze ans, sensible à la tristesse de Mme Nathalie M…, femme mariée, vraisemblablement malheureuse…
    Parue en 1857 dans Les Annales de la Patrie, cette nouvelle aurait été écrite lors de son incarcération à la forteresse Pierre-et-Paul, au prétexte d’une participation à une réunion du cercle Petrachevski, admirateur de Fourier, longtemps surveillé par la police secrète du tsar. »

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  • LES FRÈRES KARAMAZOV (Tome 1)

    9.00 

    « Un père riche, impudique et malhonnête ; quatre fils – Mitia, l’orgueilleux, Yvan, l’intellectuel athée, Aliocha, le pieu, et l’illégitime Smerdiakov, cynique à souhait : tels sont les personnages principaux de ce roman flamboyant qui vous invite à suivre le cours d’une intrigue policière des plus palpitantes afin de découvrir l’auteur du parricide…
    Considéré comme l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature mondiale, ce roman, publié sous forme de feuilleton dans Le Messager russe entre janvier 1879 et novembre 1880, est le dernier écrit par Fedor Dostoïevski. Explorant certains de ses thèmes fétiches comme Dieu, le libre arbitre, la moralité ou la Russie moderne, cette œuvre était pour l’auteur la plus aboutie de ses créations. »

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  • LES FRÈRES KARAMAZOV (Tome 2)

    « En conflit avec son père au sujet d’un héritage et d’une femme, Grouchenka, que son père convoitait aussi, Mitia est l’accusé idéal du parricide. Mais, est-ce bien lui ?
    Considéré comme l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature mondiale, ce roman, publié sous forme de feuilleton dans Le Messager russe entre janvier 1879 et novembre 1880, est le dernier écrit par Fedor Dostoïevski. Explorant certains de ses thèmes fétiches comme Dieu, le libre arbitre, la moralité ou la Russie moderne, cette œuvre était pour l’auteur la plus aboutie de ses créations. »

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  • LES PAUVRES GENS

    2.50 

    Ce roman conçu sous forme d’échange épistolaire entre deux personnages – Macaire Alexéïevitch Diévouchkine, vieux fonctionnaire, et Varvara Alexéïevna Dobrossiélova, jeune parente éloignée – est le premier roman de Dostoïevski. Mêlant récits d’enfance et petits évènements du quotidien qui se vit dans la plus grande précarité, ce roman est avant tout le début d’une grande aventure littéraire où Macaire Alexéïevitch Diévouchkine écrit, sans doute, dans une dernière lettre qu’il n’envoie pas, le propre dessein de l’auteur : « Vous savez, je ne sais même plus ce que j’écris, je ne sais plus rien, je ne me relis même pas, je ne me corrige pas. J’écris seulement pour écrire, pour m’entretenir avec vous un peu plus longtemps… »

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  • Les possédés (Tome 1)

    8.00 

    « « Pour raconter les événements si étranges survenus dernièrement dans notre ville, je suis obligé de remonter un peu plus haut et de donner au préalable quelques renseignements biographiques sur une personnalité distinguée : le très-honorable Stépan Trophimovitch Verkhovensky. Ces détails serviront d’introduction à la chronique que je me propose d’écrire. […] » Traduction : Victor Derély (1840-1904).
    Voilà comment le narrateur de cette œuvre de fiction entame ce roman, également connu sous le titre Les Démons, Les Possédés. Publiée en feuilleton à partir de 1871 dans Le Messager russe, cette œuvre majeure de Dostoïevski est avant tout une critique éclairée de toutes les idéologies (démocrates, socialistes, religieuses, ultra-conservatistes), et s’impose comme un véritable pressentiment de l’auteur sur les dangers du totalitarisme. Dès sa sortie, il fut accueilli avec beaucoup d’enthousiasme par le public. A contrario, les critiques littéraires fortement influencées par des tendances populistes, libérales ou révolutionnaires, dénigrèrent l’ouvrage qui, sous l’ère soviétique, ne fut jamais réédité, hormis en 1935 et 1982. »

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  • Les possédés (Tome 2)

    « « Huit jours s’écoulèrent. Maintenant que tout cela est passé et que j’en écris la chronique, nous savons de quoi il s’agissait ; mais alors nous en étions réduits aux conjectures, et naturellement nous faisions les suppositions les plus étranges. Pendant les premiers temps, Stépan Trophimovitch et moi, nous restâmes enfermés, attendant avec inquiétude ce qui allait arriver. À vrai dire, je sortais encore un peu, et je rapportais à mon malheureux compagnon les nouvelles sans lesquelles il lui aurait été impossible de vivre. […] » Traduction : Victor Derély (1840-1904).
    Ainsi débute donc la seconde partie de ce roman connu sous le titre Les Démons, Les Possédés.
    Publié en feuilleton à partir de 1871 dans Le Messager russe, cette œuvre majeure de Dostoïevski est avant tout une critique éclairée de toutes les idéologies (démocrates, socialistes, religieuses, ultra-conservatistes), et s’impose comme un véritable pressentiment de l’auteur sur les dangers du totalitarisme. Dès sa sortie, il fut accueilli avec beaucoup d’enthousiasme par le public. A contrario, les critiques littéraires fortement influencées par des tendances populistes, libérales ou révolutionnaires, dénigrèrent l’ouvrage qui, sous l’ère soviétique, ne fut jamais réédité, hormis en 1935 et 1982. »

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  • Les possédés (Tome 3)

    « « La fête eut lieu nonobstant les inquiétudes qu’avait fait naître la journée précédente. Lembke serait mort dans la nuit que rien, je crois, n’aurait été changé aux dispositions prises pour le lendemain, tant Julie Mikhaïlovna attachait d’importance à sa fête. Hélas ! jusqu’à la dernière minute elle s’aveugla sur l’état des esprits. Vers la fin, tout le monde était persuadé que la solennelle journée ne se passerait pas sans orage. “Ce sera le dénouement”, disaient quelques-uns qui, d’avance, se frottaient les mains. […] » Traduction : Victor Derély (1840-1904).
    La description des états de folie de personnages qui dépassent l’auteur lui-même, bien souvent, se poursuit dans cette troisième partie de roman, également connu sous le titre Les Démons, Les Possédés.
    Publiée en feuilleton à partir de 1871 dans Le Messager russe, cette œuvre majeure de Dostoïevski est avant tout une critique éclairée de toutes les idéologies (démocrates, socialistes, religieuses, ultra-conservatistes), et s’impose comme un véritable pressentiment de l’auteur sur les dangers du totalitarisme. Dès sa sortie, il fut accueilli avec beaucoup d’enthousiasme par le public. A contrario, les critiques littéraires fortement influencées par des tendances populistes, libérales ou révolutionnaires, dénigrèrent l’ouvrage qui, sous l’ère soviétique, ne fut jamais réédité, hormis en 1935 et 1982. »

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  • L’IDIOT (Tome 1)

    8.00 

    « Le prince Mychkine, désargenté, souffre d’épilepsie. Cette maladie l’a amené à passer sa jeunesse en Suisse qu’il décide de quitter pour rejoindre la Russie, avec pour seuls atouts son titre et une lettre de recommandation. Au hasard de ses pérégrinations dans les cercles de la haute société, il assiste à l’anniversaire de la très belle Nastassia Filippovna, abusée dès l’enfance par son tuteur, devenu amant, Totzky, un vieil homme de 55 ans.
    Là, le prince assiste à une scène qui le bouleverse : la jeune femme est sollicitée par Parfione Semionovitch Rogojine, complètement ivre, pour le suivre contre une forte somme d’argent. Face au désarroi de la belle, le prince lui offre le mariage qu’elle accepte avant de se dédire pour rejoindre Rogojine…
    Paru en 1869 dans Le Messager russe, L’Idiot est considéré comme le roman le plus psychologique de Dostoïevski. Avec pour cadre, la société bourgeoise russe du XIXe, ce roman propose des rebondissements incessants où le lecteur est continuellement sur le qui-vive, presque anxieux quant à l’avenir de ce prince trop bon, quasi christique, jeté en pâture à une société où hypocrisie et superficialité sont de rigueur. « 

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  • L’IDIOT (Tome 2)

    « Du jour au lendemain, le prince arrive à la tête d’une grande fortune. Très épris de la cadette de la famille Epantchine, nommée Aglaïa (Aglaé) Ivanovna qui le tourne publiquement en ridicule, il renonce à cet amour pour se consacrer à sauver Nastassia Filippovna qui l’aime profondément. Mais, les souillures de son passé lui interdisent de se livrer complètement au prince qui la demande à nouveau en mariage. Comme à la fête d’anniversaire, elle accepte. Mais, ira-telle jusqu’au bout ? Saura-t-elle résister aux appels de Rogojine ?
    Paru en 1869 dans Le Messager russe, L’Idiot est considéré comme le roman le plus psychologique de Dostoïevski. Avec pour cadre, la société bourgeoise russe du XIXe, ce roman propose des rebondissements incessants où le lecteur est continuellement sur le qui-vive, presque anxieux quant à l’avenir de ce prince trop bon, quasi christique, jeté en pâture à une société où hypocrisie et superficialité sont de rigueur. »

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  • UN CŒUR FAIBLE

    2.50 

    UN CŒUR FAIBLE

    2.50 

    « Parue en 1848 dans Les Annales de La Patrie, cette nouvelle relate le glissement progressif vers la folie de Vassia Choumkov, jeune fonctionnaire, pétrifié par l’idée du bonheur que lui apporte son prochain mariage avec Lizanka Artiémiev, et la reconnaissance qu’il se croit trahir envers Julien Mastakovitch, son supérieur, qui lui a demandé un travail, impossible à finir. Bien que son ami et colocataire, Arcade Ivanovitch Niéfiodiévitch, tente de l’aider, l’âme torturée de Vassia ne résistera pas au poids écrasant de la crainte de tout perdre. Un seul remède à cette situation : l’internement !
    Cette nouvelle est sans doute l’une des plus poignantes de Dostoïevski, passé maître dans l’art de créer des personnages broyés par la vie, mais aussi dans la description de l’âme humaine et de ses abîmes. »

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