Charles Baudelaire

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  • LES FLEURS DU MAL

    2.50 

    « Baudelaire écrit à Alfred de Vigny : «  »Le seul éloge que je sollicite pour ce livre est qu'on reconnaissance qu'il n'est pas un pur album et qu'il possède un commencement et une fin. » » Ce recueil, pour Baudelaire, doit donc se lire dans un ordre précis, car l’ensemble des poèmes suit le fil de la pensée de son auteur qui expose «  » la lutte de deux principes qui ont choisi le cœur humain pour principal champ de bataille, c'est-à-dire de la chair avec l'esprit, de l'enfer avec le ciel, de Satan avec Dieu «  ». L’édition définitive se structure ainsi :
    «  » SPLEEN ET IDEAL «  » (poèmes I à LXXXV).
    Considérée comme le squelette du recueil, cette partie contient toutes les thématiques qui y seront développées par la suite. Elle décrit l’oscillation du poète, au cœur d’une double postulation : enfer, détresse/ ciel, idéal, bonheur.
    «  » TABLEAUX PARISIENS «  » (poèmes LXXXVI à CIII)
    Premier poète à parler de la ville, «  » la fourmillante cité pleine de rêves «  », Baudelaire y voit l’allégorie de sa propre âme entre spleen et idéal.
    «  » LE VIN «  » (poèmes CIV à CVIII)
    Un des paradis artificiels du poète, le vin est l’un des moyens de sortir de l’écartèlement de son âme, à sa souffrance.
    «  » FLEURS DU MAL «  » (poèmes CIX à CXVII)
    Comme le vin, la débauche apparaît dans un premier temps comme un moyen efficace pour sortir du spleen. Mais elle s’avère vaine.
    «  » REVOLTE «  » (poèmes CXVIII à CXX)
    Insulte et anathème contre le Dieu, le poète chante la gloire de Satan.
    «  » LA MORT «  » (poèmes CXXI à CXXVI)
    Seule échappatoire, la mort représente l'espérance d'une réconciliation et d'un salut. »

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